Non à la voie de covoiturage sur le Périphérique Parisien

Stop aux mesures limitant la circulation

UNE POLITIQUE ANTI-AUTOMOBILISTE

Recours collectif


VTC et usagers ensemble contre la voie réservée au co-voiturage sur le Périph’ parisien

covoiturage-ripostejuridique

Action soutenue par le Syndicat INV-VTC

Une énième mesure

PARIS : UN IMMENSE BOUCHON SANS FIN

C’est la 4ème mesure anti-automobiliste imposée par la Mairie de Paris en 6 mois par arrêté du 27 février 2025. Après, la limitation du périphérique parisien à 50km/h, la ZTL et la ZFE, voici la voie réservée au co-voiturage mise en place depuis le 3 mars.
 
Les automobilistes franciliens voient cet amoncellement d’interdictions comme un acharnement. Désormais, les bouchons franciliens, c’est H24!

Les VTC initient l’action en justice

MAIS LES USAGERS SONT AUSSI CONCERNES

Les VTC ont accès à la voie de co-voiturage à la condition d’être en charge. A la différence, les taxis peuvent l’utiliser en charge ou pas.
 
Pour les VTC, la conséquence est immédiate: perte de chiffre d’affaires car les déplacements hors charges sont allongés. Et comme l‘ile-de-France n’est plus qu’un immense bouchon sans fin

Les VTC ont donc décidé d’être les premiers à former un recours contre cette mesure.

L’heure de la « guérilla juridique » pour tous

Contraindre les pouvoirs publics

Cette mesure n’impacte pas seulement les VTC, tous les automobilistes sont touchés. La suppression d’une voie du Périph’ est une énième mesure ayant pour effet l’allongement des embouteillages.
 
C’est également ce que conclut la Région Ile-de-France qui déplore le gel de la 3ème voie du périphérique dans un communiqué du 3 février 2025.

Seulement, à part « déplorer », la Région Ile-de-France ne fait fait rien de concret.
 
Le seul moyen de s’assurer que cette expérimentation ne devienne pas définitive est de saisir la justice. Ainsi, le citoyen ne dépendra pas du bon vouloir médiatique.

Les franciliens ont été interrogés sur le gel d’une voie du Périph’ : c’était NON !

Deux consultations publiques qui montrent une opposition massive, mais la mairie de Paris refuse d’en tenir compte et impose le gel de la voie du Périphérique Parisien.

FAITES entendre VOTRE OPPOSITION

Inscrivez vous à cette action

CE QU’EN DIT L’AVOCAT

Comment s’opposer à cet acharnement ?


Le provisoire définitif à la française

Une expérimentation… durable

UN ARRêTE SANS ETUDE D’IMPACT

Présentée comme une expérimentation limitée dans le temps, cette mesure contraignante n’a pourtant pas été évaluée par une étude d’impact. Les automobilistes sont donc des cobayes?
 
Comme la France est la spécialiste du provisoire qui dure, il est d’autant plus important qu’une telle mesure fut-elle provisoire respecte les règles!

« Guérilla juridique » indispensable

TOUT CONTESTER, NE RIEN LACHER

Depuis quelques années, on observe les pouvoirs publics passer en force sur toutes les réglementations. C’est l’effet « cliquet », on avance et on ne recule jamais.
 
Le seul moyen est de s’opposer. Il y a la désobéissance civile, les manifestations, l’interpellation des élus, etc. Toutes ont leur interêt, mais aucune ne contraint les pouvoirs publics. L’issue est laissée au bon vouloir des pouvoirs publics.

En revanche, le juge peut contraindre les pouvoirs publics d’annuler ces mesures. La « guérilla juridique » consiste à attaquer systématiquement ces mesures scélérates.

Le droit de contester en justice

Un DROIT INHERENT A LA DEMOCRATIE

Dans une démocratie, il existe des contre-pouvoirs pour s’assurer que celui qui détient le pouvoir n’en abuse pas.
 
Parmi ces contre-pouvoirs, on compte le droit du citoyen d’agir en justice contre toute réglementation disproportionnée, discriminatoire, injuste, illégale, etc.

Vous disposez chacun, en tant que citoyen, de ce droit inaliénable. Utilisez-le, le droit d’agir en justice est légal, démocratique et pacifique.
 
N’oubliez pas : la démocratie ne s’use que si on ne s’en sert pas!

SE MOBILISER ET AGIR

Recours collectif contre la voie réservée au co-voiturage sur le Périph’


Notre stratégie

Mobilisation massive et agir en justice

Pour avoir un impact, ce type d’action nécessite de regrouper des centaines, voire des milliers de personnes.

Qui peut participer à cette action collective?

OU

Vous êtes un automobiliste, motard ou camionneur (particulier ou professionnel) francilien ou provincial utilisant le périphérique parisien de manière occasionnelle ou régulière.

OU

Vous êtes une association d’automobilistes, de motards ou de professionnels du transport ou tout autre organisme lié aux transports.

Et vous ne souhaitez pas une voie réservée au covoiturage sur le périphérique parisien.

Le coût pour participer à cette action :

12€ TTC pour les particuliers. 60€ TTC pour une association ou une entreprise. Nous rappelons que les honoraires des avocats peuvent être pris en charge par les assurances « protection juridique » Le recours sera lancé dès qu’un minimum de 300 personnes se seront inscrites. A défaut, vous serez remboursés.

Les documents pour participer à cette action

Pour participer à cette action, il vous suffit de vous inscrire sur notre Plateforme Riposte Juridique et d’y déposer les documents suivants :
  • Votre carte nationale d’identité
  • Copie de la carte grise du véhicule que vous utilisez (véhicule personnel ou de société)
  • Justificatif d’utilisation du périphérique (justificatif de domicile en Ile-de-France OU justificatif de lieu ou zone de travail en Ile-de-France OU attestation sur l’honneur )
  • POUR LES VTC UNIQUEMENT : Copie de votre inscription au registre des VTC
  • POUR LES TAXIS UNIQUEMENT : Copie de votre inscription au registre des Taxis

A réception de ces documents, notre équipe étudiera votre dossier et vous contactera le cas échéant pour compléter.

Rejoindre le recours collectif


Coût de l’action : 12€ TTC Particuliers ou 60€ TTC Professionnels

Personne physique

12

  • Constitution du dossier
  • Dépôt et suivi du dossier
  • Espace client 24/24
Personne Morale

60

  • Constitution du dossier
  • Dépôt et suivi du dossier
  • Espace client 24/24
Le recours sera lancé dès que le seuil de 300 participants sera atteint. À défaut, vous serez remboursé. Plus le collectif rassemblera de citoyens, plus il sera fort. Seul, on va vite, ensemble, on va loin.